Depuis l’été dernier, la crise politique au Venezuela s’intensifie.
Nicolas Maduro a été officiellement réélu pour la troisième fois le 28 juillet 2024 avec 51,2% des voix, mais les résultats font l’objet de sérieux doutes et ne sont pas reconnus par les États-Unis, l’Union européenne et un grand nombre d’États d’Amérique latine.
Ce vendredi 10 janvier, il prêtera serment en tant que président du Venezuela, tandis que son opposant, Edmundo González Urrutia, jusqu’ici en exil en Espagne, a annoncé qu’il reviendrait au Venezuela pour revendiquer l’exercice du pouvoir — il se trouve aujourd’hui à la cour de Javier Milei en Argentine.
Nicolas Maduro peut-il rester au pouvoir ? Edmundo González Urrutia va-t-il se trouver dans la même situation que Juan Guaidó en 2019 ? Qu’implique le soutien de Milei dans les équilibres régionaux, notamment au Mexique et en Colombie ?
Comment caractériser le renforcement autoritaire du régime de Nicolas Maduro depuis 2013 ? Que dit l’expérience de Maduro du chavisme ? Quelle est la stratégie des acteurs régionaux et internationaux ? Comment l’Union européenne doit-elle se positionner ?
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