
La question de la dette sort de son confinement et, une fois de plus, la Chine est au premier rang : Pékin détient 152 milliards de $ de créances, dont les trois-quarts ne sont pas concessionnelles. Sa position est double : d’un côté, la Chine insiste sur la diversité des financements et leur éventuelle révision au cas par cas, et de l’autre côté, elle accepte d’être le souverain maître de la dette en Afrique et donc l’arbitre de la situation. Le cas de l’Angola est un bon exemple de la politique chinoise de la dette.